Au delà de la validité de l’idée, l’élément qui l’invalide, c’est la façon avec laquelle l’idée est proposée par cette personne.
Pour résumer : C’est le style et la modalité de communication de la personne (l’émetteur) qui ne concordent pas avec ceux de ses interlocuteurs, (récepteurs de la communication).
Pour éviter ce type de situation la Méta-PNL et la Neuro-sémantique proposent 2 principes et une découverte.
Le premier principe dit que : la carte n’est pas le territoire.
Dans un contexte de communication nous devons considérer que notre interprétation du monde est subjective. Elle appartient à nous et à nous seulement.
Pour éviter les conflits il faut communiquer tout en respectant l’interprétation/la carte du monde de nos interlocuteurs.
Cela signifie qu’il faut savoir adapter sa communication pour respecter les cultures, convictions, et idées de nos interlocuteurs.
Le deuxième principe Méta-PNL à utiliser est : la signification de la communication réside dans la réponse que nous avons des nos interlocuteurs.
Normalement toute communication doit avoir un ou plusieurs objectifs à la base.
Par exemple, l’objectif d’obtenir une compréhension, une adhésion, passer des infos, promouvoir une entente etc.
Le sens de ce que l’on communique vraiment est à saisir alors dans les retours que l’on obtient.
Si les retours que l’obtient correspondent aux objectifs que l’on a proposé en début de discussion alors on peut dire que la communication est un succès.
Si par contre on obtient un retour conflictuel au sujet de cette communication alors cela veut dire que l’on a mal communiqué, sauf dans le cas où l’on voulait vraiment provoquer le conflit.
Ce principe nous oblige à bien préparer nos objectifs avant d’entamer une discussion.
Au delà des idées dont on peut avoir besoin pour communiquer, la Méta-PNL nous vient en secours avec la réalité des méta-programmes.
La découverte des méta-programmes est une découverte majeure pour le monde de la communication.
Les méta-programmes sont des schémas de pensées que l’on a acquis à travers l’expérience de vie.
Par exemple, on pourrait dire que : parce-que notre père parlait d’une façon globale, nous avons aussi appris à s’exprimer en considérant un sujet donné dans toute sa globalité sans considérer et sans rentrer dans chaque petits détails.
Par contre, des personnes qui ont eu par exemple des expériences (scolaires ou autres) qui demandent d’approfondir des détails peuvent avoir développées un type très détaillé de communication.
Si vous mettez dans une réunion deux personnes : une avec la tendance à communiquer d’une façon globale et une autre avec la tendance à communiquer d’une façon détaillée le conflit est assuré.
Quand la personne « tendance détail » parlera, la personne « tendance globale » s'ennuiera et probablement la personne « tendance détail » sera contre son idée.
Quand la personne « tendance globale » parlera la personne « tendance détail » ne comprendra pas la communication et cherchera à approfondir des détails que la personne globale ne sera pas capable d’expliquer.
La puissance des méta-programmes dans la communication est énorme et les comprendre en les utilisant avec les deux principes exposés au-dessus est vital pour éviter les conflits.
La PNL a détecté 60 méta-programmes au total.
Si vous voulez éviter les conflits une formation sur les méta-programmes et sur les bases de la Méta-PNL serait un véritable atout.
Mario Mason
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